Nous sommes au XXIème siècle. En dehors de l’Afrique, les faits sont différents. Sous d’autres continents, les couleurs sont d’un autre éclat. C’est des mondes épanouis, des univers de bonheur où exister bénéficie des apports d’une intelligence engagée à déployer des meilleurs mécanismes de développement. L’Afrique s’offre tel un coin ahistorique qui s’efface de l’ensemble du monde par ses aspects préhistoriques que dépeint la plupart de ses endroits habités où très peu de considérations de modernisation sont à jour. Vue de près, l’Afrique reste le seul continent à sortir du gouffre indicible du sous-développement en faisant le choix de l’expérience d’une nouvelle volonté dans la production des moyens susceptibles de permettre son développement. Ce choix est attitude et foi, souci et prédisposition qui déterminent au bien-être. Oswald Kilambwe
Zambie: Njele Lodge
Découvrir ce que nos pays africains offrent dans l’hôtellerie est une attitude à encourager. Quoi de plus confortable que de se savoir propriétaire d’un continent qui dispose des valeurs touristiques remarquables dans le secteur de l’hôtellerie. Et pour qui visite Ndola, il est important de savoir que c’est une ville paisible qui garantit à ses visiteurs des moments de pleine quiétude dans des environnements hôteliers particulièrement majestueux et aux contours agréables. C’est le cas de Njele Lodge. C’est un espace garni des bungalow qui rassurent un séjour idyllique. Tout y est simplement conçu au point de vous placer dans un concert naturel très adéquat à vos différentes attentes. Pour ceux qui voudront découvrir cet hôtel, ils le trouveront sur l’axe Ndola Kitwe dans le voisinage des magasins Chinois.
Lorsqu’on mentionne que l’Afrique est un continent pauvre, il est difficile de comprendre le sens global de cette affirmation. Parle-t-on de son sol, de son sous-sol, de sa faune, de sa flore ou tout simplement du niveau de vie que trahit le cours existentiel des africains? Difficile préoccupation surtout quand on en fait lecture du côté de son incompréhension. La pauvreté n’est pas une qualification essentielle de l’Afrique parce qu’on la sait accidentelle. Dela sorte, elle peut ou ne pas concerner l’Afrique, à condition de savoir faire le choix de s’en libérer. Aucun peuple ne se développe au prix des brass croisés ou de la main tendue. Tous ceux des peuples du monde, qui se retrouvent aujourd’hui développés, se le doivent par le truchement du travail, qu’importe la définition ou l’orientation de ce dernier. A l’Afrique de donner une place remarquable au rôle du travail si vraiment se construire un avenir radieux est une valeur qu’elle caresse. Sinon, rien de tout ce qui est dit de sa pauvreté n’est à considérer sinon ce qu’elle même approuve et témoigne par la complicité qu’elle offre à sa situation de pauvreté. Tout alors tout ne dépend que d’elle. Une Afrique autrement est et reste possible dès l’instant où les africains accepteront de donner à son image des nouvelles couleurs que seuls des élans de restaurateur sont capables. Il n’y a de véritable pauvreté de l’Afrique que telle que cette dernière se la couvre. Aussi longtemps qu’elle en admet l’effectivité à son sujet, personne à sa place ne l’en défaira. Oswald Kilambwe
CHUTE KYUBO
Personne ne devrait se priver de s’offrir un moment dans l’environnement de cette merveille et devant son éclat qu’on sait découvrir à près de 300km de Lubumbashi sur l’axe Lwambo-Mitwaba. Cet endroit naturellement touristique loge un lieu de passage que le concert naturel parfait par son sceau remarquablement impensable. Lorsqu’on visite cet espace, l’évidence d’un intérêt pour développer le tourisme devient obligatoire. En effet, ils sont divers ces types d’espace sur l’ensemble de l’espace africain en général et congolais particulièrement. L’effort est de les couvrir de bonne visibilité pour mieux les présenter ter et les préserver. Oswald Kilambwe
vue de face de la chute Kyubo
Et si on apprenait à mieux vendre notre espace touristique africain, nous pourrions mieux nous sentir parce qu’enfin de compte, il s’agit de notre identité.
Une entrée historique de cet espace idyllique se trahit dans la simplicité de ce monument qui scelle dans la vie de chaque visiteur une découverte indicible qui, après la visite, ne sera autrement qu’un rêve à revivre autant des fois que cela pourrait être possible.
ICA sur les pas de ses quêtes
Rares sont encore ces moments d’échange susceptibles de reposer nos problèmes à nous-mêmes par nous-mêmes.
A la rencontre de la différence
Une Afrique autrement
De quoi est-il vraiment question ? Est-ce du capital humain, des outils ou des atouts pour la rendre possible? Rien de tout cela n’est le problème. Tout réside dans la qualité et l’orientation de la volonté. L’africain se tolère mieux dans le discours que dans les faits. Quand il faut poser des actes, il préfère la consommation que la production. Par conséquent, il offre aux autres toutes les opportunités devenues moyens de son aliénation. Ce n’est pas qu’il ignore la valeur qu’il peut tirer de son auto détermination à envisager un mode de vie générateur de son espoir. Seulement, il a tendance à mieux préférer la facilité du déjà-là plutôt que de se frotter aux exigences de la cuisson. Une Afrique autrement est curieusement possible malgré toute cette assurance négative de son mythe. Il faut juste passer de la pensée à l’acte quelque soient les difficultés ou les échecs possibles. Tout s’apprend dans et par l’acte. Oswald Kilambwe
L’Afrique arable
Point n’est question d’un devoir de comparaison entre les prédispositions agricoles en Afrique et celles dont disposent les autres continents. Notre intérêt porte sur l’espace arable africain qui, juste avec les 80 millions des terres en République Démocratique du Congo, représente un atout significatif pour le développement du continent. La question est de savoir ce qu’on en fait si déjà la Rdc fait partie des pays les plus pauvres du continent. Tout le problème se situe à ce niveau: Nous avons un continent qui ne manque pas du potentiel agricole, cependant nous manquons parfois jusqu’à un repas le jour dans des familles de moins de cinq enfants. Cette situation est un désastre à éradiquer impérativement si l’Afrique envisage sérieusement améliorer sa capacité à se prendre en charge face aux problèmes alimentaires.
L’un des faits historiques qui perturbent la réalité de l’Afrique est sa répartition entre différentes métropoles qui, depuis les temps de la Colonie excercent des pesanteurs idéologiques coupables de l’absence d’unité au niveau africain. L’Afrique peut tout sauf s’unir. Elle est soumise à des tacts puissants qui veillent à ce que des problèmes politiques rendent continuellement difficile l’option d’une union africaine. Cela ne devrait cependant pas aller jusqu’à corrompre tout élan du sens commun entre africains. Déjà que les relations frontalières suffisent pour repenser copieusement cette possibilité d’un climat d’unité entre africains; rien ne devait installer de la méfiance entre eux en ce qui concerne les besoins qui cadrent avec la cohabitation notamment : la sécurité, la santé, l’alimentation, la communication etc. Comment la République Démocratique du Congo entretiendrait-elle une logique de tensions avec ses pays frontaliers sachant qu’ils constituent des portes d’accès à plusieurs biens de première nécessité en provenance d’autres pays africains ? Comment à leur tour ces derniers opteraient-ils de briser l’entente avec la Rdc alors qu’ils sont conscients des avantages exponentiels qu’offre cette dernière en terme de marché ? Seuls les sadiques et les masochistes iraient comprendre quelque chose dans ça. Sinon, l’unique vie possible entre africains est celle d’une communauté. Le choix est fondamentalement africain en ce qui concerne les voies de sortie de l’ensemble des maux qui opprime l’Afrique. Déjà, faut-il commencer par ne plus accepter certaines exigences peu salutaires au niveau des collaborations bilatérales. Il suffit d’un effort de bonne appréhension des avantages de chaque pays pour que s’assainisse le climat de toute initiative qui met ensemble deux ou plusieurs États africains quel que soit le concert des affaires. Il est donc impérieux que soit développée, de façon diversifiée, une intelligence collective, par les africains, qui alimentera des codifications significatives autour des axes d’appui au développement du continent. Oswald Kilambwe